La Belgique compte plus de 415.000 malades de longue durée (plus d'un an), un record, selon les derniers chiffres transmis par l'Inami. Sur les six premiers mois de l'année 2018, le nombre de malades a augmenté plus rapidement qu'auparavant, malgré les mesures prises par le gouvernement. En début de législature (fin 2014), ils n'étaient encore que 71.000.
De plus en plus d'employés, d'indépendants et de demandeurs d'emploi font face à des dépressions, des burn-out, des maladies chroniques ou une forme d'invalidité.
L'activation des malades de longue durée était pourtant un des fers de lance du gouvernement Michel. Son approche sévère semble avoir fonctionné en 2016 et en 2017, années lors desquelles la croissance a ralenti.
Toutefois, le nombre de malades de longue durée a de nouveau grimpé au premier trimestre 2018 (4,9%), plus rapidement qu'en 2017 (3,7%). Les années précédentes, le pourcentage était encore de 8%.
Interrogé sur la raison, la ministre de la Santé publique Maggie De Block pointe le vieillissement de la population.
De plus en plus d'employés, d'indépendants et de demandeurs d'emploi font face à des dépressions, des burn-out, des maladies chroniques ou une forme d'invalidité. L'activation des malades de longue durée était pourtant un des fers de lance du gouvernement Michel. Son approche sévère semble avoir fonctionné en 2016 et en 2017, années lors desquelles la croissance a ralenti. Toutefois, le nombre de malades de longue durée a de nouveau grimpé au premier trimestre 2018 (4,9%), plus rapidement qu'en 2017 (3,7%). Les années précédentes, le pourcentage était encore de 8%. Interrogé sur la raison, la ministre de la Santé publique Maggie De Block pointe le vieillissement de la population.