En cas de stress, le corps synthétise beaucoup plus de radicaux libres créant ainsi un terrain plus propice aux virus. D'où la nécessité de renforcer l'immunité en faisant par exemple appel aux anti-oxydants.
Le pharmacien Laurent Staquet a inventé le concept des " médicaments suspendus " en s'inspirant des " cafés suspendus " qui permettent d'offrir un café aux plus démunis. Une opération qui permet surtout de redorer l'image du pharmacien auprès de sa patientèle.
Depuis sa création, en 1963, le Centre antipoisons belge a sauvé d'innombrables vies en diffusant des informations sur les produits toxiques auprès des médecins, des hôpitaux et du grand public.
A Gouy-Lez-Piéton, le pharmacien Laurent Staquet a inventé le concept des "médicaments suspendus" en s'inspirant du concept des "cafés suspendus" qui permet d'offrir un café aux plus démunis.
Dès la rentrée académique prochaine, les étudiants pourront faire leurs masters en sciences pharmaceutiques à l'université de Mons ou à celle de Namur. Les cinq unifs francophones proposeront alors l'entièreté du cursus en leurs murs respectifs.
Du 20 au 26 octobre 2019, a lieu la semaine internationale d'action pour la prévention de l'intoxication par le plomb, axée particulièrement sur l'élimination de la peinture au plomb.
Le 10 septembre dernier, le Groupement pharmaceutique de l'Union européenne (GPUE) a fêté son 60e anniversaire. L'occasion de mettre en avant la place de la pharmacie communautaire en Europe et les nouvelles missions dont on dote de plus en plus le pharmacien.
Étant donné l'amélioration de la survie à long terme des patients cancéreux, des effets secondaires cardio-vasculaires des traitements du cancer et d'une population de plus en plus âgée, la cardio-oncologie s'installe comme une nouvelle sous-spécialité de la cardiologie.
La Fédération Wallonie-Bruxelles s'affiche dans la toujours jacobine France, à Paris donc, en son "Centre", lequel se révèle un fringuant quarantenaire...
Les cycles ont disparu, relève le patron de la stratégie d'investissement à la Banque de Luxembourg. Et cela signifie qu'on ne peut plus investir en suivant les critères classiques, ni pour les actions, ni pour l'or notamment. C'est ce qu'il a expliqué devant un parterre de professionnels. Le journal du Médecin s'y est invité.